Pour une formation académique de l’expert

Résumé

L’expertise est, d’une manière succincte, une activité qui consiste à définir une situation, tout en prospectant ses origines et en prévoyant son future. Les divers outils investit, pour une expertise ordonnée et échelonnée, sont curieusement présélectionné, sur la base d’une vision méthodologique de recherche et non pas sur une vision méthodologique d’analyse, de la part de l’ensemble des experts.

Cet état de « pensée » est généré par le caractère décisif du paramètre chronologique, qui témoigne de la fragilité des choix à faire, pour mener à terme toute mission d’expertise. Les solutions adoptées pour mettre à jour les travaux d’expertises, doivent être impérativement, conçue sur la véracité et la consistance des données collectées.

L’objectif de notre intervention consiste, à dresser une feuille de route, fondée sur la formation académique, destiné à tout expert (e) désirant réussir dans ses missions.

I-L’EXPERTISE

Si la notion d’expertise est vaguement connue, par le milieu des professionnels, tous domaines confondus, en tant qu’une démarche positive et irréversible, pour justifier toute action de changement, que ce soit à court ou à long terme, elle est à notre sens, plus qu’une étape de transfert d’expérience et de connaissance ; c’est  une evaluation des effets et des impacts. L’expertise est un moteur de motivation, pour souscrire nos idées et nos projets dans la veille prospective et collaborative au sein de nos sociétés.

II- POTENTIEL ACADEMIQUE

Le potentiel académique est un facteur de réussite individuelle et sociale. Son exploitation efficace, par diverses méthodes d’apprentissage et de perfectionnement continu, nous permet d’améliorer, nos multiples compétences d’identification, d’appréciation et de maitrise des situations.  L’expertise est l’unique mode d’expression scientifique qui, nous permet de réfléchir sagement et efficacement, et par conséquent nous aide à libérer notre potentiel académique.

III- FORMATION ACADEMIQUE

Pourquoi une formation académique, alors qu’on pourrait exploiter notre potentiel académique ?

On classe généralement les sciences par branches, afin d’identifier les divers besoins des sociétés, et par conséquent leur apporter des solutions efficaces et durables. La recherche opérationnelle est ainsi conditionnée par l’implication de potentialités scientifiques et managériales qualifiés, issues, elle-même des grandes universités et pôles internationaux.

On note donc, qu’une vraie réussite des activités de recherches et pratique des méthodologies valables, n’est due qu’à la formation académique de tous les acteurs impliqués.

La part de l’expertise dans la formation académique, est très importante, bien qu’elle soit méconnue par les experts, à cause de sa confusion, avec le potentiel académique.

Nous pouvons dire que, si le potentiel académique est un courant continu qui alimente nos besoins, la formation académique est un courant alternatif qui alimente nos cerveaux.

IV- L’EXPERT ACADEMICIEN

Si La formation de base d’un expert, est à priori obligatoire, celle de la formation académique, est significativement un devoir à posteriori. Si cette vérité est prise en considération par l’expert lui-même, quelque soit sa spécialité et son domaine d’expertise, cela lui permettrait de se hausser au rang, de personnalité influente et recherchée.

V- LA FORMATION ACADEMIQUE DES EXPERTS

Loin de se substituer à la formation académique au sein des institutions universitaires, la formation académique des experts, est une formation qui est basée sur le management de l’expérience personnelle (MEP).

Le MEP est une méthode efficace qui, permet de développer les compétences suivantes :

  • La maitrise de la performance
  • La mise en place des solutions de relance
  • La programmation des séances de benchmark ING
  • L’établissement des indices de qualité
  • Définir les approches statistiques

 

 

Le Rôle de l’expert entre Métier et titre

Résumé :

Longtemps resté une énigme pour la plupart des experts, le pouvoir d’expertise au sein de la plupart des institutions, n’a pas à nos jours délivré tous ses secrets, vu l’amalgame des cas auxquels l’expert fait face souvent, une fois sur le terrain. Confronté donc, aux aléas du métier, l’expert ne pourrait aboutir à une conclusion juste et nette, que difficilement.

En espérant trouver des solutions aux diverses situations, l’expert essai de déployer le maximum d’efforts, soutenu dans sa quête, par un arsenal juridique et technique importants. Au bout de recherches et investigations multiples, l’expert se retrouve dans la majorité des cas insatisfait, des résultats obtenus, que ce soit au niveau de la qualité ou des conditions dans lesquelles il a accompli sa mission.

Nous avons dans ce sens, tenté de trouver des réponses, aux soucis de l’expert dans l’accomplissement de sa mission.

I- LE METIER DE L’EXPERT

Le métier de l’expert englobe dans sa définition réelle, plusieurs métiers méconnaissable à la plupart de nous tous, que nous soyons des dirigeants, exécutants ou auxiliaires de la justice. Si l’expertise est une mise en lumière d’un savoir ou d’une compétence, durant l’exécution d’une mission précise, elle est aussi un astre autour duquel gravitent plusieurs concepts, tel que l’ingénierie de l’information, l’architecture des idées, l’intégration des données etc. ……………

II-    LE ROLE DE L’EXPERT

Bien que la mission de l’expert est définit au préalable, nous jugeons que les taches pertinentes de l’expert se résument au nombre de trois :

II-1    la sécurisation de l’expertise

Nous savons que l’intervention de l’expert survient suite, à des actions qui visent régulièrement un changement ou un perfectionnement d’un état stable ou instable (Audit, Projet, …). Donc, le premier pas que chacun de nous en tant qu’expert doit faire, est celui de prévoir un plan de travail qui assure avant tout, la sécurité de l’expertise elle-même !. Car, si le risque de ne pas réussir sa mission est grave, le risque de perdre la mission d’expertise est plus grave.

II-2    L’atténuation des risques majeurs

La seconde tache que l’expert devrait mener est celle, de veiller à la collecte des données qui lui permettent de minimiser les risques majeurs au sein de l’espace où il exerce sa mission, par la modification le cas échéant des conditions de travail.

II-3    La pluridisciplinarité des objectifs

Mettre en considération, que la consécration des objectifs de l’expertise, n’est pas tout à fait complète que si et seulement si, ses objectifs sont réalisés dans un cadre pluridisciplinaire, plutôt que dans un cadre unique.